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Dernier article à la une : L’indépendance fantasmée de Didier Rykner

Récemment encore, Didier Rykner se vantait sur Twitter du « bonheur d’être indépendant ». Impossible de faire pression sur lui explique-t-il. La création de la Tribune de l’Art a d’ailleurs été mue, dès l’origine, par une ambition simple : celle d’un journalisme engagé, « sans langue de bois » comme l’affirme Didier Rykner, un journalisme libre de tout lien de dépendance à l’égard d’un quelconque financier. Son fondateur affirmait ainsi en 2015 :

 

« De plus en plus de journaux dépendent de groupes puissants comme Arnault, Lagardère, Bouygues, qui ont des intérêts énormes dans diverses activités, dans l’industrie ou le bâtiment, et qui tiennent les deux bouts de la chaîne. Par exemple, Arnault détruit des immeubles de l’ancienne Samaritaine. Comment voulez-vous que les journaux qui lui appartiennent soient critiques ? Dans ce contexte, il n’est alors plus question de défendre l’intérêt du patrimoine… Le phénomène est le même avec les expositions : lorsque les journaux sont partenaires, il ne faut pas attendre qu’ils en livrent une analyse objective… »

Didier Rykner et les Menaces sur la Tribune de l'Art

Découvrez ci-dessous une série d'articles intitulée "Menaces sur la Tribune de l'Art" qui répondent aux 13 articles publiés sur la Tribune de l'Art "Didier Rykner et les Menaces sur le château de La Barben".

À travers ces articles, nous démontrons, point par point, que les attaques proférées par Didier Rykner à l'encontre du Rocher Mistral et du château de La Barben sont infondées et inexactes.

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